Collection Folle Du Cul. Les Aventures D’Audrey Et Les Villages Peoples (1/4)

Tony voulait du hard.
Dans les cinq chapitres de « Tel est pris qui croyait prendre », je l’ai beaucoup malmené.
J’ai même fini par aller chez lui baiser Audrey, sa salope de femme avant de l’emmener dans une boutique d’Amsterdam se prosti ce qu’elle a fait avec envie.
De retour chez elle, je pensais que Tony avait été assez cocufié, mais comme je l’ai dit, il en redemande.
J’écrie donc une suite avec ses directives.

Je m’appelle Audrey, je suis mariée à Tony mon homme qui ayant des fantasmes les a exprimés auprès de Chris71 l’un des auteurs du site HDS.
Du haut de mes 31 ans, l’aventure que j’ai guidée par ordinateur interposé m’a entraîné bien plus loin qu’initialement je l’avais prévu.
Pourrais-je dire un jour à mes filles Élisa et Anna que j’ai suivi Chris71 pour faire la pute dans une vitrine d’Amsterdam ?
Faire la pute est une chose, mais aimer le faire en est une autre.
Heureusement, à Bondues, le village où nous habitons, nous sommes considérés comme une famille soudée et moi une femme honnête.
Seul Julien notre jeune voisin instituteur d’Élisa sait que je suis capable de m’éclater quand mon sexe épilé cri famine et ça de plus en plus souvent.
C’est d’ailleurs un peu ce jeune enseignant qui m’ayant dragué au café de notre ville devant l’église m’a entraîné dans toutes mes turpitudes.
Mais il faut que j’admette qu’il m’en faut peu pour démarrer dès que je suis sollicitée.

Dans notre petite ville, nous venons à peine de dépasser les 10 000 habitants, je suis sûr qu’il y a des lecteurs de ce site qui voudraient savoir où Tony et moi habitons.
Dans les cinq premiers chapitres, je vous ai donné des éléments.
Rare sont les maisons qui possèdent une piscine dans ce Nord de la France.
Bien sûr, la nôtre est bien cachée des regards indiscrets ce qui me permet de prendre des bains de soleil et d’aller dans l’eau entièrement nue lorsque mes filles sont absentes.


Depuis que nous avons trouvé ce coin de paradis, quand je me regarde dans ma glace, ce que je fais fréquemment, car je m’aime, la moindre trace de peau blanche m’est insupportable.
Surtout que je me fais épiler régulièrement et qu’à cet endroit, il est facile de laisser quelques traces disgracieuses.
Quand les s sont à l’école et que je suis seule, dès les premiers beaux jours, il est fréquent que j’ouvre mon compas afin que le soleil soit à la limite de me faire l’amour.
Il en est de même en hiver, lorsque je suis seule, j’oublie souvent de me vêtir, la maison étant très bien isolée et chauffée.
Je m’écouterais, j’entrainerai toute la famille dans des camps naturistes, mais Tony, est légèrement coincé du cul.
Il est vrai que ces fantasmes sont dans ma tête et que si Chris71 avec ses écrits et ses sollicitations arrêtait de me relancer, je redeviendrais certainement la femme fidèle que Tony croit que je suis.
Quant au soleil, dans les premiers jours où il commence à chauffer, je me badigeonne la chatte de crème solaire.
Mon dieu est-ce vraiment moi qui viens de faire écrire le mot chatte.
Avec mes deux filles, je parle de minou, fleur des prés, délicieuses roses en devenir et autres mots bien plus doux.
Je me protège du soleil depuis que j’ai été obligé d’aller voir Benoît, notre médecin pour qu’il me prescrive une crème cicatrisante ayant été à la limite de la brûlure au 2e degré.
Je lis en secret quand je suis seule, comme pour ma nudité, les histoires cochonnes sur HDS et j’aime les récits un peu étranges.
Ceux de maître Domino l’un des maîtres d’histoires de soumis et de soumissions, ce qui m’aide à jouir en me masturbant.
Je me vois dans un château mettant une ceinture de chasteté à Tony qui serait en possibilité de baiser qu’au moment où je le désirerais.
Avoir une forme d’eunuque à la maison, fiote, ma fiote à disposition.
Encore une fois, s’il savait que j’ai de telle pensée, comment réagirait-il ?
Hélas, nous avons des s et tant qu’ils sont encore jeunes ce genre de plaisir nous est interdit.

J’ai des copines que je fréquente régulièrement, certains conduisant leurs s à l’école.
Ce que j’ignore, c’est si comme moi, elles lisent des histoires érotiques.
Parmi elle, Sylvie étant plus en phase avec ce que je suis capable d’accepter si on m’aide à franchir le pas.
Je suis attentive quand elle nous fait une proposition plutôt malhonnête.
Nous constatons que nous sommes prêtes à devenir des salopes et nous décidons de la suite de notre vie.

Je sais que Tony suit toujours mes propos par mails avec Chris71.
Je lui parle de la création d’un groupe de fille sortant les premiers samedis du mois !
Ça fonctionne, comme pour Amsterdam, un soir c’est lui qui me propose d’être de corvée de gosses si mes copines sont elles aussi d’accord avec leurs maris.
J’en parle à Sylvie quelques jours après, elle m’annonce que nous sommes cinq à accepter de nous faire un resto sans parler de soirées coquines pour commencer.

Aujourd’hui, c’est la deuxième fois, que nous faisons notre soirée.
Il est 21 heures quand nous nous retrouvons pour partir pour Mouscron en Belgique.
Cette ville, assez près de chez nous et assez loin pour éviter de rencontrer trop de connaissances.
La première fois que nous sommes sorties, s’était à Tourcoing à moitié de distance, qui plus est en France.
Dans la soirée, nous avons croisé deux couples dont l’un illégitime.
Ludivine, leur voisine était plutôt mal à l’aise.
Croiser individuellement ce couple baisant ensemble et surtout les voir discuter se tenant tous les quatre indifféremment les mains la rendait malade.
Pour vivre heureux, vivons cachés.

Ce soir, pour une fois nous sommes six.
Sylvie nous ayant demandé de l’aider à organiser l’enterrement de vie de jeune fille de sa jeune sœur Karène, j’ai pris ma voiture.
C’est dans une salle qu’elle a louée dans cette ville protégeant nos sorties, à ce jour très soft que nous nous rendons.

J’avais bien senti que les filles, Sonia, belle blonde malgré ses deux mouflets.
Radia, petite Maghrébine, mais loin des préceptes de sa religion lorsqu’elle mange des cuisseaux de porc flambés au cognac et aussi des couilles de cet animal, marinés au vin blanc.
Lorsque nous nous retrouvons devant l’école, nos propos évoluaient, pour preuves de plus en plus d’entre eux légèrement grivois.

Parmi elle, Radia nous parle souvent de ses deux soeurs, Nouzha et Loubna, qui elles font leurs cinq prières,cinq fois par jour.
Elle, c’est cinq fois par jour qu’elle suce son mari comme la salope qu’elle est.
C’est du moins ce qu’elle nous dit.
Elles sont toutes les trois originaires d’un trou sans fond dans les montagnes ou elles étaient gardiennes des moutons de leur père.
Il les a vendus, comme ses moutons abattus pour la fête de l’Aïd, à trois frères qui sont venus chercher fortunes en France.
Par chance, elle a hérité d’un homme malgré son âge bien plus grand que le sien étant homo préférant les bites à sa chatte.
Elle l’a découvert après lui avoir donné un garçon.
Ce soir, il garde son , mais elle sait que la tafiole de l’étage du dessus va venir l’aider à attendre son retour.
Ce qui est bien, c’est qu’il sait qu’elle est partie pour un bon nombre d’heures de la nuit et a leur retour à part les draps qu’ils auront changés, rien de leur turpitude lui sera décelable.
J’aimerais vivre de telles situations, mais je sais que c’est fonction des envies de l’auteur de mes textes.
Elle sait qu’un jour irrémédiablement comme moi elle sera une salope s’assumant.
Sylvie, Karène et Lucrecia une jolie fille brune, dont j’ai pu voir sa chatte épilée un jour où je l’ai invité à venir se faire bronzer, partent dans une voiture.
Radia, Sonia et moi conduisant dans la deuxième.

Le peu de chose que nous savons dévoiler par Sylvie, c’est que pour faciliter les choses, un traiteur est venu préparer un repas froid qui nous permettra de nous restaurer au fil de la soirée.

Secrètement, j’espère que les choses dépasseront une simple bouf.
Même si c’est sa sœur, à notre époque, l’enterrement de vie de jeune fille doit dépasser celui de mon époque, plutôt soft.

Apéro, pour tous sauf pour Sylvie et moi nous buvons une bouteille de San Pellegrino, nous sommes les capitaines de soirées.
Heureusement, car lorsque j’ai bu, j’ai tendance à devenir hystérique et faire un peu des choses que la morale réprouve.
Le repas se termine, c’est le moment du gâteau.
C’est à ce moment que tout va basculer pour nous et que je vais voir les délurer et les coincées du cul qui reste parmi nous.
Je fais la fière forte de ce sur j’ai fait à Amsterdam
La musique démarre.
« Macho Man » des Villages Peoples.
Ils sont six, comme nous, portant une table sur laquelle un gâteau scintille de mille feux.
La table est mise devant la scène.
Cette table fait partie du mobilier de cette salle.
Pour leur show, ils semblent que ce sont les seuls objets avec les chaises à leur disposition pour leur prestation.
Avant que nous arrivions, ils en ont déplié cinq de chaque côté.
Chacun d’eux vient chercher une chaise, qu’ils placent en arcs de cercle et viennent nous prendre la main au buffet tout en dansant et nous installer comme au spectacle.
Comme pour la location de la salle c’est Sylvie qui nous a dits s’occuper de l’animation.
Je m’attendais à tous sauf à ça.
J’ai connu le monde de la prostitution, de quel genre d’homme avons-nous affaire.
Notre amie a dû prévoir qu’ils apparaissent et commencent leur show comme ils viennent de le faire au moment du gâteau.
Le motard chef du groupe se dirige vers Karine et l’installe sur la chaise au milieu de l’arc de cercle
Six filles, six garçons, c’est l’Indien qui me prend la main et me conduit à une chaise au bout de l’arc.
Je suis à côté de Lucrecia et Radia de Sonia, Karène à tout seigneur tout honneur au milieu.
Ainsi, installés, les garçons montent sur scène placée là dans cette salle et qui a dû faire penser à notre organisatrice de penser à trouver des chippendales pour animer la soirée.
Ils savent qu’ils sont là pour Karène, c’est sa soirée.
Les cinq principaux titres dont « Macho Man » pour leur entrée et « Ymca » pour suivent sont montés en boucle et ils dansent nous montrant leurs abdos parfaits me faisant saliver.
Qu’est-ce que Chris va pouvoir avoir pensé qu’une jeune pucelle est capable d’accepter.
Que vais-je encore subir ?
Saura-t-il me faire passer une soirée sans les débordements qu’il sait obtenir de moi ?

Le motard s’avance sur « Macho Man » de nouveau et se trémousse à distance de Karène, future jeune mariée, je le rappelle.
Où va s’arrêter son enterrement de jeune fille ?...

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